La petite fête métaphoraine, c'est une machine-à-écrire qui ne parle pas pour ne rien voir. Délicate, indomptable et tellement grande qu'on a réussi à entrer à l'intérieur.
Un conte émancipé qui décolle la routine, sur les traces de Richard Brautigan, cet écrivain américain qui maniait la plume comme on pivote une caméra.
Deux boulettes de brouillons débrouillards, nommés Une-Seule & Gratte-Ciel, réussissent à s’échapper juste à temps de la corbeille-à-papier de leur papa-écrivain, sur le point de disparaître.
Aussitôt remontés à bord de la machine-à-écrire, la feuille blanche se met à respirer à 24 images par secondes tel un écran de cinéma… Les voilà étrangement propulsés dans un poème de science-fiction, en plein cœur d’une émission-radio.
Ce spectacle enveloppe tout serré dans une machine-à-écrire géante :
2 personnages en chair et en os, du cinéma en direct et en boîte, des marionnettes, des mécanismes, des jeux d’ombres, du théâtre d'objet, de la délicatesse, une ligne ferroviaire, un facteur-poney, une speakerine à remonter-le-temps, des effets un peu spéciaux et beaucoup d’imaginaire.
« C’est comme jouer à la roulette russe avec une fête foraine. Tu ne sais jamais quel tour ou quel manège tu vas te prendre dans l’oreille » Richard Brautigan
Avec le soutien et la complicité de :
Bertrand Boulanger : 06 14 25 73 66
gelamboo@wanadoo.fr
Cette machine attractive pourra être visible tant dans les réseaux du livre & de la littérature que sur les scènes dédiées au théâtre en général, ou au cinéma en particulier, ainsi que celles dédiées au théâtre de figures & d’objets, sans oublier les espaces culturels scientifiques, musées d’art contemporain…